Comment faire face à des données massives
en tant qu’historien.ne?
En quoi la textométrie est-elle
l’une des réponses à cette question?
À la croisée des memory studies et de l’histoire contemporaine.
Que font les réseaux sociaux numériques
aux (traces de) mémoires du passé?
Enjeu important car implique:
Comment y faire face comme historien?